Danika Jorgensen-Skakum est diplômée du programme de maîtrise en genre et justice sociale de l’Université de l’Alberta (hiver 2018). Ses intérêts de recherche comprennent les rapports qu’entretiennent les humains avec la mort humaine et non humaine dans le contexte de l’anthropocène. Elle est particulièrement fascinée par les représentations culturelles de la (dé)composition, la re(fabrication) de la terre, et les détails peu flatteurs de ce que signifie vivre et mourir en tant que proches sur une planète souffrante. En collaboration avec la doctorante Jessie Beier, Danika anime des soupers sur les changements climatiques, un projet de recherche-création conçu pour provoquer une consommation réfléchie et des pratiques alimentaires conscientes du temps. À une autre époque de sa vie, Danika a été animatrice d’une émission de radio féministe, organisatrice d’une marche/manifestation/contre-protestation, et collaboratrice des programmes Housing First.